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Les 3 p de la résilience : comprendre les piliers pour surmonter les défis

Face aux épreuves, la résilience se révèle indispensable pour naviguer à travers les turbulences de la vie. Cette capacité à rebondir repose sur trois piliers essentiels : la perception, la persévérance et la patience. Ces ‘3 P’ permettent de comprendre et de surmonter les défis de manière constructive.

Adopter une perception positive transforme les obstacles en opportunités d’apprentissage. La persévérance, quant à elle, encourage à continuer malgré les échecs, tandis que la patience offre le temps nécessaire pour évoluer et guérir. Ensemble, ces éléments forment une base solide pour affronter l’adversité avec courage et détermination.

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Les fondements de la résilience : une exploration des 3 P

Les 3 P de la résilience sont des concepts clés pour comprendre comment les organisations et les individus peuvent surmonter les défis actuels. La résilience organisationnelle est analysée par l’Université de Lucerne et décrite par la norme ISO 22316:2017. Cette approche systématique permet de développer une stratégie robuste face aux crises.

Premier pilier : la perception réaliste des situations

Adopter une perception réaliste des situations est le premier pilier de la résilience. Jana Meißner, gérante de Meissner The Resilience Company, souligne que voir les choses telles qu’elles sont, sans filtre, permet d’identifier les véritables enjeux et de réagir de manière appropriée. L’Université de Lucerne développe une approche systématique pour cette perception réaliste, essentielle pour la résilience organisationnelle.

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Deuxième pilier : la persévérance face aux obstacles

La persévérance est fondamentale pour surmonter les obstacles. Une recherche menée par Deloitte a identifié plusieurs obstacles à la résilience, soulignant la nécessité de maintenir l’effort même en cas d’échec. En Grande-Bretagne et en Scandinavie, la fonction de responsable de la résilience est courante, illustrant l’importance de cette qualité.

Troisième pilier : la proactivité dans la recherche de solutions

La proactivité est le dernier pilier de la résilience. Jana Meißner et Markus Epner, responsable de l’académie chez F24, mettent en avant la nécessité d’anticiper les problèmes et de rechercher activement des solutions. F24, fournisseur de solutions SaaS leader en Europe, offre des outils pour cette approche proactive. La Hochschule des Mittelstandes collabore avec Jana Meißner pour développer un cursus de licence en résilience organisationnelle, témoignant de l’importance de cette compétence.

Premier pilier : la perception réaliste des situations

Adopter une perception réaliste des situations constitue le premier pilier de la résilience. Jana Meißner, gérante de Meissner The Resilience Company, met en lumière que voir les choses telles qu’elles sont, sans filtre, permet d’identifier les véritables enjeux et de réagir de manière appropriée. La norme ISO 22316:2017 décrit les notions et méthodes de base de la résilience organisationnelle, fournissant un cadre pour une analyse précise et structurée des situations.

L’Université de Lucerne développe une approche systématique de cette perception réaliste. Leur méthodologie se base sur l’identification des menaces potentielles et des vulnérabilités, permettant ainsi une préparation adéquate. Cette approche est fondamentale pour les entreprises cherchant à renforcer leur résilience face à des crises imprévues.

  • Identification des menaces : Comprendre les risques potentiels auxquels l’organisation est exposée.
  • Évaluation des vulnérabilités : Analyser les points faibles susceptibles d’être exploités par ces menaces.
  • Stratégies de réponse : Développer des plans d’action pour atténuer les impacts négatifs.

En Europe, le nouveau règlement DORA (Digital Operational Resilience Act) impose aux entreprises financières d’adopter des mesures de résilience robustes. Ce cadre réglementaire, implémenté à grande échelle, incite les organisations à revoir leur perception des risques et à adopter des pratiques plus rigoureuses.

La perception réaliste des situations est non seulement un exercice de lucidité, mais aussi un impératif réglementaire pour certaines industries. Les outils et méthodes fournis par des normes comme l’ISO 22316:2017 et les initiatives académiques de l’Université de Lucerne offrent les bases nécessaires pour instaurer une culture de résilience au sein des organisations.

Deuxième pilier : la persévérance face aux obstacles

La persévérance représente le second pilier essentiel de la résilience. Deloitte, à travers une étude approfondie, a mis en évidence que la capacité à surmonter les obstacles repose sur la constance et la détermination des individus et des organisations. Cette qualité distingue les entreprises résilientes des autres.

La persévérance en pratique

Dans les pays comme la Grande-Bretagne et en Scandinavie, le rôle de responsable de la résilience s’est imposé comme une fonction clé au sein des entreprises. Ce poste stratégique permet d’assurer une gestion continue des crises et de garantir que les équipes restent mobilisées malgré les adversités.

  • En Grande-Bretagne, les responsables de la résilience développent des plans d’urgence détaillés et des exercices réguliers pour tester les réactions face aux crises.
  • En Scandinavie, les entreprises intègrent la persévérance dans leur culture organisationnelle, favorisant une approche proactive et collective face aux défis.

Études de cas et insights

Les recherches menées par Deloitte révèlent que les entreprises ayant une forte persévérance affichent une meilleure performance durant les crises. Ces organisations n’abandonnent pas facilement ; elles adaptent leurs stratégies et continuent d’avancer malgré les revers.

Région Stratégie de persévérance
Grande-Bretagne Plans d’urgence et exercices réguliers
Scandinavie Culture organisationnelle proactive

Cette persévérance, couplée à une perception réaliste des situations, forme un socle robuste pour la résilience organisationnelle. Les enseignements tirés de ces régions peuvent servir de modèle pour d’autres entreprises souhaitant renforcer leur propre résilience.

résilience défis

Troisième pilier : la proactivité dans la recherche de solutions

La proactivité constitue le troisième pilier de la résilience. Jana Meißner, gérante de Meissner The Resilience Company, souligne l’importance d’anticiper les crises plutôt que de les subir. Cette approche proactive permet de transformer les défis en opportunités stratégiques.

La proactivité en action

Markus Epner, responsable de l’académie chez F24, illustre parfaitement cette notion. F24, fournisseur de solutions SaaS leader en Europe, adopte une stratégie proactive pour la gestion des crises et des incidents. Les entreprises utilisant les services de F24 bénéficient d’un système d’alerte et de gestion des crises qui leur permet de réagir rapidement et de minimiser les impacts.

  • Anticipation des risques : identifier les menaces potentielles avant qu’elles ne deviennent des crises.
  • Formation continue : s’assurer que les équipes sont prêtes à réagir grâce à des exercices réguliers.
  • Innovation : développer des solutions technologiques pour améliorer la résilience.

Insights académiques et collaboration

La Hochschule des Mittelstandes collabore avec Jana Meißner pour développer un cursus de licence en résilience organisationnelle. Ce programme vise à former les futurs leaders à adopter une approche proactive face aux crises. Les étudiants apprennent à intégrer les principes de la résilience dans leurs stratégies organisationnelles.

Le F24 Crisis Blog sert aussi de ressource précieuse pour les professionnels. Ce blog offre des analyses pointues et des études de cas sur la gestion proactive des crises, favorisant ainsi une culture de résilience au sein des entreprises.

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